I had my first day back at work yesterday and it is safe to say that by the time 2pm came around – 10pm in Japan – I was completely K.O. and close to being unable to function. It has been great to have a week off but I do regret one thing: not switching off. I left Brussels after having an intense week at work and arrived in Japan with a university assignment looming over my head as well as the lingering thought that a blog post needs to go up. I was in contact with people back in Europe and spent a significant amount of time putting the final touches on my presentation.
These were all things which could easily be done back in Brussels. What is the point of going away and yet continue to do what I was doing and be in contact with the same people, but the only difference being that I am in a different time zone? I might as well have never left. I think we all need to learn to switch off sometimes, even if it means that people will think that they are being ignored or that you are not making as much effort to stay in contact. We are all so hyper-connected these days that even the briefest of moments we choose to be disconnected seem like an eternity.
***************************
Hier était mon premier jour de travail après mon retour de vacances! J'étais éreintée par le décalage horaire, 14h à Bruxeles signifiait encore pour mon métabolisme 22h au Japon... C'était fantastique pour moi de profiter d'une semaine de congés, cependant je regrette une seule chose: de ne pas avoir été déconnectée. En effet j'ai quitté Bruxelles en ayant eu une semaine intense et chargée de travail, et lorsque je suis arrivée au Japon je devais encore terminer un travail pour l'université, et publier un article sur le blog, d'où la sensation d'avoir la tête pleine. De plus je suis restée en contact avec des amis en Europe, pour ensuite passer du temps à finaliser ma présentation PPT pour mon université.
Des choses faciles, qui auraient pu être faites sur Bruxelles, d'où le fait de se demander quel est l'intérêt de parcourir autant de kilomètres, changer de continent, pour au final, faire exactement ce que je faisais en Belgique, rester en contact avec les mêmes personnes, avec pour seul différence le fuseau horaire. Autant ne pas avoir quitté Bruxelles, cela n'aurait rien changé. Je pense que nous devons tous apprendre à faire une coupure de temps en temps, et savoir se déconnecter, même si certaines personnes peuvent se sentir délaissées. Nous sommes tellement connectés en permanence sur nos Laptops, Facebook ou autres applications, que lorsque qu'on fait une petite coupure, cela nous semble être une éternité!